Protection contre les ours polaires: bilan d’un mois d’essais
                       

Protection contre les ours polaires: bilan d’un mois d’essais

Protection contre les ours polaires: bilan d’un mois d’essais

Après un mois de travail acharné et d’essais, avec diverses batteries, avec divers régulateurs de tension, et directement sur secteur, la protection via détecteur de mouvement est 100% opérationnelle.

Mais en salle seulement. Ou dehors, sous réserve que la température soit proche de zéro. En un mot, pas fonctionnelle !

La protection périmétrique par fil avec des munitions placés sur chaque poteau semble globalement fonctionnelle. En général, deux des 3 munitions se déclenchant, (rarement les 3, mais deux c’est déjà le double de l’unique généralement utilisée).

Seul point de vigilance, quand la température est très chaude (peut-être -10/-5°C), de la neige fond parfois, provocant des de petites infiltrations d’eau qui regèle au soir et prévient tout actionnement du système.
Résumé, concernant la protection par fil et munition: reste longue et lourde à mettre en oeuvre mais est infiniment plus opérationnelle.
C’est avec elle que je vais partir, le lieu précis restant à défini.

Selon mes informations auprès des habitants ce ces régions, dans toute la partie Nord-Est du Québec et au Labrador, aucun lac n’est praticable: après que leurs surfaces aient gelé, les chutes de neige ont été tellement colossales que le poids des accumulations à fait s’enfoncer la glace sous la surface. Bilan: 60 cm d’eau dans la neige (de la « slosh » pure !) sous 25 cm de neige fraîche. Un vrai piège à la grandeur des lacs ! (voir la photo !).

Des contacts sont en cours pour savoir l’état du Lac Mistassini, et avec les indiens Cri de Waskaganish, au sud de la baie James.

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