Les articles de la catégorie ‘Management’
Entreprises en retour permanent à la normale et à l’anormal: des réponses pratiques !
Crises sanitaire, déconfinement, crise financière, enjeux RH…
Frustré et interrogatif face aux challenges lié à un environnement instable ?
Ma vision de réponses, avec mon regard d’expert des environnements incertains, d’aventurier et chef d’entreprise.
Les deux grands défis pour les mois à venir, personnels et des entreprises
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Les deux grands défis personnel :
1- Rester tous conscient, aligné sur, et nourri par la raison d’être collective.
2- Conserver le lien humain et le sentiment d’appartenance à l’organisation.
Les deux grands défis pour l’organisation :
1- Identifier et résorber de façon fluide et en temps réel les innombrables tensions et écarts qui apparaissent, du fait de la succession de changements imprévisibles qui vont perdure.
2- Répondre à haute vitesse aux besoins d’ajustements continus -organisation et gouvernance- qui permettent le maintien en condition opérationnelle le plus efficient, et mettre en place une régulation relationnelle et émotionnelle, qui permet aux personnes de bien traverser l’époque et prévenir les RPS.
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Des solutions attestées, face à ces enjeux critiques
Répondre vite et bien à ces enjeux est crucial.
S’ils vous parlent, voici des solutions pour chaque public, en présentiel et à distance en vidéo-conférence:
Pour tous les collaborateurs
Donner de la hauteur, de la vision et des perspectives positives, via le témoignage des moyens de la réussite collective dans le monde imprévisible des expéditions.
– Un instant pour repousser les murs et en ouvrir la fenêtre sur de grands espaces
– Un témoignage et des apports concrets sur performance et épanouissement de soi en Himalaya et sur la banquise (expédition mixte sourd et entendant, ski tracté par cerf-volant, …), au service de son épanouissement personnel et du collectif
Pour les managers et décideurs sur-sollicités
par la charge de travail, la charge mentale, et les innombrables difficultés, tensions, questionnements, qui leur sont adressés chaque jour:
Les outiller du processus opérationnel qui permet de faire s’exprimer, orienter, et répondre aux innombrables besoins opérationnels.
Le rituel -process et les questions- pour adresser chaque tension, et y répondre en moins d’une minute ou enclencher à haute vitesse la mise en relation et le choix de la première action entre la personne ayant le besoin et celle ayant autorité pour y répondre. Jusqu’à +/-30 problèmes traités en 45 minutes, avec des équipes rodées.
Ressource: le coeur d’une réunion de triage en Holacratie, Gouvernance Agile ou Gouvernance Cellulaire
Pour les top managers, COMEX, CODIR
Découvrir les 5 rituels à incorporer dans votre fonctionnement existant d’entreprise, qui permettent: (inverser l’ordre bénéfice et moyen, en mettant le bénéfice en premier)
– de protéger et démultiplier l’efficience de l’action par l’ajustement opérationnel continu, fluide et à grande vitesse
– de prendre soin de soi et de chacun.e via un process simple de régulation relationnelle/émotionnelle
– et d’entretenir entretenir sens, motivation, et engagement via l’alignement constant sur la raison d’être.
(Me contacter et je vous envoie gratuitement les 5 rituels -pas encore en ligne- que je partage lorsque j’accompagne des codir/comex).
VOLONTE D’AGIR PLUTÔT QUE SUBIR ?
Vous souhaitez agir sur l’un de ces sujets ?
Contactez-moi pour imaginer ensemble la meilleure réponse !
Besoin de clarté sur/dans votre situation ?
Vous pouvez m’appeler pour 15 minutes de feedback / conseil
– Gratuitement, c’est mon engagement sociétal –
(et/ou être orienté vers des documents, personnes, ressources si souhaité).
Olivier Soudieux
06 23 47 21 93
olivier (à) soudieux.com
Prospérer dans un monde incertain !
PS Précision IMPORTANTE :
Pas question ici de grande refonte ou d’une quelconque révolution de l’organisation.
Il s’agit d’ajuster ou d’enrichir de façon tout à fait opérationnelle les façons de faire existantes, dans l’entreprise.
Par des procédés qui ont fait leurs preuves dans les environnements exceptionnellement incertains par nature tout comme dans l’entreprise face à un monde bousculé.
Traverser naturellement les turbulences du monde: libérez enfin votre entreprise !
!!! Pour ceux qui ne l’aurait pas encore compris, les structures d’entreprise historiques sont totalement inadaptées a un monde de changement permanent, plein d’opportunité mais imprévisible !!!
Pardon du ton peut-être excessif de ce message, mais il existe des fonctionnements qui permettent à l’entreprise de s’adapter en temps réel de façon fluide à son environnement changeant et situations proches d’une crise.
Qui plus est, avec beaucoup plus de performance opérationnelle, une réduction phénoménale des risques, la capacité à bien capter et saisir les opportunités, et tout en prenant réellement soin des personnes.
Des fonctionnement actionnables pratiques, sensé, efficients.
Des canevas qui s’accordent, via leur déclinaison, un tout type d’entreprises. Y compris les grands groupes (qui a dit mammouth ?) du CAC 40.
Alors, qu’est-ce qu’on attend ?!
Bougeons-nous !
Le monde en a besoin.
Par souci de conjuguer d’économie et écologies.
Parce ce que l’entreprise est en tension.
Parce que « l’intention de l’humain » reste chassé par l’opérationnel court terme, à son détriment, et au détriment de la performance de l’entreprise elle-même…
… alors que des solutions opérationnelles existent !
Jetez un œil à des approches telles que la sociocratie, à l’holacratie, et surtout le plus complet et abouti : la Gouvernance Cellulaire.
Certaines approches, comme la Gouvernance Cellulaire sont en licence Creative Common.
C’est à la fois gratuit, en accès libre, avec de vraies réponses opérationnelles immédiates, qui permettent aux organisations traverser naturellement les turbulences du monde.
De quoi avez-vous besoin pour agir ?
Qu’attendez-vous ?
Si vous le voulez, envoyez-moi un message pour que j’organise un webinaire pour découvrir ces approches.
Agissez comme vous le voulez, mais agissez, svp !
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Si ce message fait écho chez vous, merci de le partager largement.
Agissons !
L’entreprise efficiente: maîtriser la Complexité
L’environnement de l’entreprise était compliqué.
Ce n’est plus le cas.
L’environnement de l’entreprise est désormais complexe.
Or, les démarches efficaces pour solutionner les problèmes compliqués ne sont en rien adaptées pour apporter des réponses réelles aux challenges complexes. Pire : elles donnent l’illusion de disposer d’une réponse acceptable qui va ensuite générer des dysfonctionnements, et souvent imposer des choisir entre des options toutes inadaptées.
Voici mes croyances sur les approches permettant de répondre aux enjeux complexes.
Management & Gouvernance
Le manager ne doit plus dire ce qu’il faut faire.
Voici pourquoi et son nouveau rôle dans un monde devenu incertain et peu prévisible.
Qu’en pensez-vous ?
Merci pour vos commentaires !
L’efficience collective dans un monde incertain : Agilité
Pourquoi planifier précisément tout ce qui doit être fait, comment cela doit être fait, par qui et dans quel ordre, ne peut plus être efficace dans un univers d’entreprise devenu incertain complexe… et ce qui doit remplacer ces modes d’actions obsolètes.
Mission, valeurs et sens: la raison d’être est le socle incontournable de votre réussite collective dans un monde incertain !
Mission, valeurs et sens: la raison d’être est le socle incontournable de votre réussite collective dans un monde incertain !
Pourquoi, expliqué en vidéo, avec travers la comparaison de deux expéditions aux résultats surprenants:
Manager par le sens face à l’incertain – 2/4
[Retrouvez les propos de cet article dans la vidéo
de la conférence TEDx « Pourquoi Pour Quoi ?« ]
Pendant l’ascension du Hmlung Himal, il s’est confirmé, jour après jour, parfois en respirant 3 fois par pas qu’il était possible de progresser, de monter, de prendre de l’altitude.
Personnellement, j’étais l’un de ceux au sommet. Et j’ai réellement vécu là-bcas des moments extraordinaires ! …et pas seulement parce que l’un de nos sponsors était la Chartreuse. Depuis le début des temps seulement 2 personnes avaient pu atteindre ce sommet. Dans notre expédition : chaque personne ayant voulu gravir le sommet a pu le faire. Au total, 9 personnes étaient sur la cime ! Une réussite exemplaire ! Une réussite incroyable, extraordinaire ! … mais à quel prix ? |
En réalité, ce dont je me suis aperçu sur place, c’est qu’il n’y avait pas réellement un groupe, il y avait 10 individus. C’est un peu décevant.
Mais il y a pire, – je force un peu le trait, mais à peine- au retour, dans l’équipe une majorité de personnes ne voulaient plus jamais faire de montagne avec personne de notre « équipe ».
13 ans après, certains ne se sont toujours pas reparlé une seule fois !
Pourquoi ? Pourquoi un tel fiasco humain ? Qu’est-ce qui l’explique ?
Avec le recul, il est clair qu’au sein des participants, il y avait des personnes venues pour un objectif de dépassement de soi.
Pour eux, le succès du projet se mesurait au fait que l’on ait tenté tout ce qu’il était possible de tenter pour atteindre le sommet (tant qu’on restait raisonnable en terme de sécurité). D’autres étaient partis avec une idée de se faire plaisir avant tout, dans cette nature extraordinaire, et que si l’on atteignait le sommet, alors c’était la cerise sur le gâteau. Lors du premier assaut au sommet, nous étions sur une arrête à plus de 6 000 m , nous respirions trois fois par pas, et après peut-être 10 heures de marche, nous n’étions plus très loin du sommet, lorsque la météo est passée du grand beau temps, au grand mauvais temps : peut-être 50 cm de neige en 30 minutes ! |
Et dans de telles circonstances, si vous avez encordés ensemble un « dépassement de soi qui veut absolument aller au sommet et tout tenter, et juste derrière un «se faire plaisir avant tout», alors à ce moment précis, il y a des tensions, et pas que sur la corde !
Fondamentalement que s’est-il passé ?
Une expédition, c’est un environnement, chaud dans le désert, froid en montagne. Au delà de l’environnement, une expédition, ce sont des hommes. Qui ont tous un comportement à chaque instant. Qui ont leurs compétences. Qui ont des valeurs et des croyances -qui croient que certaines choses sont bien et d’autre mal, que certaines sont possibles et d’autre pas,…
Et c’est une identité. Ce qui fait que chacun d’entre nous est unique.
Et au-delà, tout ce qui précède est connecté au sens… … ou pas !
Ce qui s’est passé avec l’expédition Himlung Himal, c’est qu’on a parfaitement préparé le projet au niveau de l’environnement (à quoi va-t-il ressembler ?), des comportements et donc des compétences qu’il allait falloir mettre en œuvre. Et sur ces sujets, nous avons été absolument parfaits ! Mais… On avait très bien préparé « comment » on allait faire cette ascension, mais pas assez « pourquoi ». Ce qui faisait sens pour les uns et les autres était très différent. Conséquence: il n’y avait pas d’équipe. Et des conflits. |
Les rôles et responsabilités étaient clairs, l’organisation était bonne. On avait le meilleur matériel.
La réussite –du projet– a été exceptionnelle. Mais à quel coût ? Humainement ?
Cette première expédition ne m’a pas seulement fait prendre de l’altitude, mais aussi de la hauteur !
Quel était le vrai challenge ?
Ce que j’ai compris, c’est qu’on s’était trompé de défi :
Le vrai challenge n’était pas de savoir ce qu’il y avait à faire (le quoi).
Le vrai challenge n’était pas de savoir comment faire l’ascension.
Le vrai, le seul véritable challenge, c’était de savoir pourquoi cette ascension, pour chacun d’entre nous, c’était de partager le sens.
J’ai appris / compris quelque chose d’essentiel : c’est le besoin absolu de sens.
Ce que j’ai compris, c’est que le manque de sens conduit à l’échec, malgré le succès apparent.
Il peut y avoir des réussites de surface, mais fondamentalement, dans une perspective réelle, à long terme, en profondeur, le manque de sens conduit à l’échec.
Lire la suite de cet article : Manager par le sens face à l’incertain – 3/4
Retour au début de l’article: Manager par le sens face à l’incertain – 1/4
[Retrouvez les propos de cet article dans la vidéo de la conférence TEDx « Pourquoi Pour Quoi ?« ] |
Manager par le sens face à l’incertain – 3/4
[Retrouvez les propos de cet article dans la vidéo
de la conférence TEDx « Pourquoi Pour Quoi ?« ]
Suite au versant malheureux de ma première expédition au Himlung Himal, je me suis intéressé à mettre du sens dans mes expéditions et à m’intéresser à des expéditions dont le sens me parlait. Et j’ai découvert Les Montagnes du Silence.
Que se passe-t-il aux Montagnes du silence ? C’est une association de sourds qui pose des ponts entre sourds et entendants à travers les activités de montagne. Leur dernière expédition ? |
Quand j’ai donné un coup de main à la préparation, c’est simple, je n’avais jamais vu une équipe aussi peu compétente : parmi les sourds, seuls D. Buffard le responsable de l’association et sa femme avaient véritablement déjà fait de la montagne.
Ils n’avaient que les vacances scolaires pour s’entrainer.
La communication prenait la moitié du temps.
Les mots « piolets » et « crampons » n’existent pas en langue des signes, il a fallu les inventer.
En montagne quand une pierre tombe, on crie « pierre » pour alerter tout le monde. Avez-vous déjà crié « pierre » dans l’oreille d’un sourd ? Il a fallu réinventer la façon de faire de la montagne.
Sans compter ce qu’il se passe, l’hiver, quand il fait -10°C et que l’interprète a des moufles !
Mais quand l’expédition part au Spîtzberg : chacun se sent investi d’une mission.
Pourquoi ? Parce qu’ils ne partent pas pour faire une expédition. Ils partent pour démontrer la capacité, entre sourds et entendants, à vivre ensemble, à communiquer, à tout assumer au même niveau, dès lors que chacun a accès au même niveau d’information. C’est ça leur but ultime. Le projet est fait pour cela. Il fait sens pour chacun. Il fait même tellement sens que tous les obstacles disparaissent. Cette expédition, ils la désirent, ils la veulent. Alors, même avec des petits moyens, ils l’organisent et arrivent à partir. |
Sur place, ils font face aux milles petites difficultés d’une expédition.
Ils évoluent dans un secteur riche en ours blancs. Parfois, il fait froid. Mais aussi, contre tout attente, le thermomètre montre jusqu’à +25°C. Les pieds gonflent dans leurs chaussures prévues pour supporter – 60°C. Ils ont tous des ampoules. En plus, elles s’infectent. Pensez, il y a plus de 50°C d’écart entre ce pour quoi les chaussures sont prévues et les conditions dans lesquelles ils sont obligés de les utiliser ! Les premiers jours, les guides Norvégiens étaient dubitatifs devant cette équipe. A la fin, ils sont sidérés ! Après les journées de marche, le soir, les guides vont se coucher. L’équipe mixte de sourds et d’entendants, elle, commence une 2ème journée avec la communication pour les écoles, avec les sponsors, jusqu’à 1h, 2h du matin. |
Or, l’énergie de l’équipe continuait à croitre et plus les jours passaient, et plus -au lieu d’être épuisés- ils allaient vite !r
A la fin de l’expérience, en termes d’engagement, ce sont des kamikazes ! Prêts à repartir ensemble ou avec d’autres, vers les plus grands défis. Pourquoi cela ? Parce que les Montagne du silence a une mission: rapprocher sourds et entendant, et donner toutes ses chances à chacun. Et parce que cette mission fait sens – et qu’ils prennent en considération tous les niveaux de la pyramide, pas seulement le « quoi » et le « comment » faire. |
Comparons un peu les deux expéditions:
– Himlung Himal :10 alpinistes entrainés, dotés du meilleur matériel, et un fiasco relationnel.
– Montagnes du silence : un groupe d’amateurs avec un équipement pas toujours adapté, et qui revient plus fort, et soudé par une expérience inoubliable !
Dans quel camp se trouve la véritable performance ?
Où est la vraie réalisation de soi ?
Et fondamentalement, qu’est-ce qui fait toute la différence ?
Pour l’expédition Himulg Himal, on s’est d’abord demandé ce qu’il y aurait à faire et comment on allait le faire.
Et il s’est passé ce qu’il se passe dans ces cas : souvent on manque la vrai cible ; et ensuite on se demande « pourquoi » on a manqué l’objectif. « Pourquoi » en un mot: on cherche un coupable. (Éventuellement, on le décapite, et on recommence !).
Les Montagnes du Silence font quelque chose de différent :
Ils se posent d’abord la question « Pour quoi ». Pas « pourquoi », la cause, en un mot.
« Pour quoi », « dans quel but ? ». Ils partent de ce qui fait sens : la mission. « Rapprocher deux mondes sourds et entendant pour s’enrichir mutuellement et donner les mêmes chances à tous ».
Et seulement quand le « pour quoi », l’intention, est partagé par tous, ils se posent les questions « comment » -grâce à une expédition- et « où » – à quel endroit elle aura lieu.
Pour réaliser de grands projets, adhérer à une mission commune est indispensable.
Le sens prime sur la compétence et les moyens matériels.
Ce n’est pas la compétence qui fait la différence entre expédition sur le Himlung Himal et expédition des Montagnes du Silence, c’est le sens.
Le sens crée le rêve et le rêve ouvre toutes les portes.
On a beau avoir la compétence, quand le sens n’est pas partagé, la cohésion éclate.
Alors que même démuni, quand le sens est partagé, on obtient le résultat.
La présence de sens amène la performance collective dans des proportions époustouflantes.
Soudés par le sens, on réussit, même avec des moyens limités
Lire la suite de cet article : Manager par le sens face à l’incertain – 4/4
Retour au début de l’article: Manager par le sens face à l’incertain – 1/4
[Retrouvez les propos de cet article dans la vidéo de la conférence TEDx « Pourquoi Pour Quoi ?« ] |
Les leaders d’opinion s’appuyent sur la mission
Notre environnement était parfois simple, souvent compliqué.
Ce n’est désormais, ce plus le cas. Il est devenu complexe !
Dans un univers dont la seule constante est une accélération d’évolutions chaotiques, être un leader d’influence, ne peut plus reposer sur les paramètres opérationnels (ce qu’il faut faire et comment le faire).
S’appuyer sur les repères traditionnels n’est plus possible:
Les piliers de l’entreprise -organisations, produits ou procédures- ne sont plus que des états transitoires temporaires, qui se doivent de continuer d’évoluer en permanence pour répondre à un univers aussi changeant qu’imprévisible.
Indiquer le chemin s’avère délicat: il s’écrit en même temps qu’on le parcoure.
Bien sûr, la vision reste indispensable. Mais son expression s’avère insuffisante à faire s’engager chacun sans retenue face aux risques et craintes que l’incertitude génère. Et plus encore, à créer la cohésion et l’expérience plutôt que l’éclatement des liens et l’autoprotection dans les moments de tempêtes.
Provoquer l’engagement dans un monde incertain, se joue au delà de l’action elle-même, au niveau du sens ce de qui nous unis.
Pour inspirer, impacter, les leaders d’influence doivent d’autant plus se centrer la mission qui reste le seul repère stable, dans un monde d’imprévisibles.
Parce qu’ils savent que la compétence est nécessaire mais que dans les environnements complexes le sens prime sur la compétence, ils créent des communautés de valeur qui unissent au delà de l’action.
Il font émerger et vivre le « être ensemble » qui produit l’envie et la capacité des équipes à s’engager quels que soient les obstacles, en inventant le « comment faire ensemble » chaque jour.
Ils placent en plus haute priorité non pas les questions Quoi (ce qu’il faut faire), Comment (comment on va le faire), ni même Pourquoi (la cause), il placent au sommet de leur intérêt la question « Pour Quoi ? ».
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Pour s’en convaincre voir ma conférence au TEDx Alsace: où comment une expédition sans moyen réussit là où une expédition de personnes infiniment plus compétentes se solde par un fiasco humain ! |